C’est un rien sur terre
Juste des chaumières
Où serpente l’eau.
De vieux monts sauvages
Découpent les rivages
Où chantent les oiseaux.
Sous un pont lézardé
De blonds rayons d’été
Font miroités les eaux.
Mais j’ai la nostalgie
D’un merveilleux pays
Et je rêve à nouveau
D’un ciel sans nuages
D’un petit village
Qu’on nomme Lanau.
Pour Michel, septembre
1948
Tu ne l’oublieras pas,
puisque tu l’as aimé,
Un peu de ta jeunesse
là-bas s’est envolée.
Gégée
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