Chère
Catherinette
Malgré ma joie qui est
très grande
Tu me vois fort
embarrassée
Pour répondre à cette
demande
D’avoir à te féliciter.
Donc je réclame ton
indulgence
Pour ces pauvres vers
estropiés
Non remboursés par
l’assurance
Mais bien payés par
l’amitié.
Imagine mon inquiétude
De ne pas bien savoir
comment
Et sans me rendre
ridicule
On peut tourner un
compliment.
Je ne voulais pas pour le
faire
Me servir des lieux
communs
Ni te dire, ainsi qu’on
l’espère
Que tu te
marieras…demain…
Mais comment puis-je
alors te dire
Ce que tous nous pensons
ici
De ta gentillesse, de ton
rire
De ton entrain, de ton
esprit ?
Mais il n’est peut-être
pas sage
De trop vanter tes
qualités…
Tu pourrais, sans être
volage,
Près des messieurs en
profiter !
Chère Catherinette, donc
je termine
Te souhaitant pour tes
vingt-cinq ans
Plein de bonheur et
j’imagine
Un très moderne Prince
Charmant.
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